lundi 30 août 2010

Istanbul - Basket - RATP mon amour

Accéder à la salle Abdi Ipekçi qui accueille tous les grands matches de basket turc depuis des années est plus que compliqué. Les Turcs n'ont pas encore intégré complètement la logique des transports en commun. Istanbul s'avère une ville entre deux eaux. Convenablement équipée pour une part et encore abandonnée aux taxis clandestins (qui n'en sont pas) de l'autre.

Imaginez qu'une salle de 11 000 places se vide, sans bus (ou presque) ni metro (à moins de 30 minutes) et avec seuls moyens de locomotion, taxis et donc fourgonnettes collectives qui ramenent à moindre coût vers le site de Topkapi où l'on peut rejoindre le métro. D'ailleurs, c'est le retour qui est compliqué car à l'aller, les bus fonctionnent très bien, quoique peu nombreux. Etonnant quand même que ni tram ni métro ne desservent cette longue et large avenue qui relie Topkapi au front de mer et à la Kennedy Caddesi où les hôtels pullulent.

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