
De même, la tactique du coach de Gottingen, John Patrick, est intéressante. Il joue sur un turnover incessant pour utiliser au maximum la condition physique de ses joueurs. Ceux-ci peuvent tout donner car ils savent qu'ils seront remplacés dès qu'ils s'essouffleront. Ca nécessite bien sûr une grande solidarité et une grande confiance dans le partenaire mais ici, ça marche à merveille. Les joueurs sortent heureux, en courant, chose assez impensable dans un sport aussi individualiste que le basket. C'est comme au handball sauf qu'ici, le temps est arrêté et que courir ne sert à rien. Sinon insuffler un supplément d'âme au copain.
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