vendredi 10 septembre 2010

Istanbul - Basket - Interprète, dur métier

Les interprètes sont arrivés à Istanbul pour cette seconde phase. Alleluia. Plus ou moins efficaces. Le Chinois est au top, le Serbe plutôt pas mal, la Turque plus en difficulté. La pauvre s'est même fait gentiment reprendre par Boscia Tanjevic, le sélectionneur, non turcophone de naissance naturellement, pour avoir mal traduit. La lose.

Enfin, bon, ils sont quand même bien utiles car beaucoup de joueurs, par confort ou par incapacité, préfèrent s'exprimer dans leur langue natale. Les Chinois, bien sûr, mais aussi, plus surprenant, la star serbe Milos Teodosic, qui évolue pourtant à Olympiakos en Grèce.

On le sait, plus il y a d'intermédiaires, plus on perd en spontanéité. Dommage que des joueurs de ce calibre ne fassent pas cet effort.

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