
Actuellement, on préserve la tradition certes mais à quel prix. Les meilleurs ne sont pas là ou par intermittence. Andy Roddick qui a déclaré forfait cette année ("soit on s'engage à jouer jusqu'à la finale, soit on vient pas") est intrigué par ce projet ("il conviendrait mieux à nos calendriers, ce qui serait un vrai plus. Dégager 10 jours tous les deux ans, c'est mieux que 10 jours quatre fois par saison").
Dans L'Equipe récemment, Roger Federer lui regrettait le choix des surfaces. "Le 1er tour est situé juste avant la tournée Indian Wells-Miami. Il m'est impossible de jouer sur terre battue le week end précédent." On notera que Serbie, Espagne, Belgique et Chili, soit la moitié du groupe mondial, ont délibérément choisi d'imposer l'ocre à leur adversaire. Pour décourager les meilleurs éléments du camp d'en face ? Obliger les matches à se jouer sur la surface correspondant à la saison, voilà peut-être une solution intelligente à creuser (1er tour : ciment ; 2e tour : terre battue ; demi-finale : ciment puis finale : indoor).
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