
Maria crie pendant un match. Non, pas Sharapova, on ne parle pas de simulation. Kirilenko crie "Vamos" car elle s'entraîne à Valence. Plus élégant que l'hideux "Come on" que Lleyton Hewitt n'aurait décidément jamais du importer dans le tennis.
La jolie blonde a mis son doigt sur la bouche au coup de sifflet final. Non, pas Sharapova, elle a préféré s'esquiver. Kirilenko, comme son compatriote Arshavin, le footballeur d'Arsenal, a porté son doigt devant ses lèvres. Le public s'est tu. "C'était juste pour me calmer. C'est fou, toutes les filles me demandaient ce que j'avais fait dans le vestiaire. Pourquoi ? Ca veut dire quoi ? Que chacun pense ce qu'il veut."
En tout cas, mademoiselle est prise. Non pas par le rustre Arshavin, mais par Igor Andreev. L'amour donne des ailes car il a pris un set à Federer ce mardi. Bon, pas plus, faut pas déconner. Même l'amour a des limites.
Pour finir, Kirilenko a asséné un dernier uppercut à Sharapova. "Elle a toujours de belles tenues, c'est vrai, aujourd'hui, c'était bleu, couleur... Powerade." Rafraîchissant.
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