
Là où ça devient drôle, c'est qu'alors que l'arbitre pourrait être prévenu par oreillette (comme au rugby) du bien fondé de la contestation, le ralenti est projeté au vu de tous sur l'écran géant. Le public devient alors volcanique, frappe de toutes ses forces dans ses mains en espérant qu'une chose : que l'arbitre ait tort. Et ce sont 15 000 personnes qui exultent en cas d'erreur ! L'ambiance bon enfant d'un court de tennis est bien adapté à cet esprit frondeur. Je n'ose en revanche pas imaginer ce qu'une telle diffusion pourrait engendrer dans un stade de football.
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