
Le lendemain, mardi, Santoro avait perdu ses fidèles fans qui chantaient la Marseillaise mais aussi les peu fréquentables supporters de Cilic. Il y a gagné un court plein, acquis à sa cause, qui a scandé son nom à plusieurs reprises. Puis lui a offert une standing ovation spontanée d'une bonne minute. Affalé dans sa chaise, il a savouré paisiblement. Après tout, on est rarement ovationné après une défaite en trois sets secs.
Puis, il s'est levé, a signé quelques autographes et a quitté une dernière fois le court. Au dessus de lui, une simple banderole "Fab, t'es fabulous".
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