
Son équipementier est le Français Airness, qui a vu avec le Russe une opportunité à moindre prix de pénétrer le marché. Sa victoire aux Masters n'a pas émoustillé la concurrence. Pire, il est sous contrat avec les raquettes Prince mais uniquement pour les tournois du Grand Chelem. Sans doute paye-t-il aussi son manque d'ambition publique. Cette année, il a déclaré qu'il ne rêvait pas de gagner sérieusement un Grand Chelem, que peu lui importait de jouer sur le Central ("déjà, si j'évite le court 22 qui est venteux, c'est bien") et enfin il s'est demandé pourquoi les journalistes s'intéressaient à lui. Etrange Davydenko décidément.
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