
Pourtant, Petrova est transfigurée depuis le début de la quinzaine. "Je suis plus fine que jamais, admet-elle. Je me suis préparée très dur pendant six semaines. C'est très important car, peu importe la durée du match, je sais que j'aurais toujours du jus." Physiquement prête, elle a également travaillé son mental. "J'étais trop perfectionniste, je voulais que tout soit parfait. J'ai appris à relativiser la défaite et à rester toujours très motivée. Ce n'est qu'un jeu. Ce n'est pas la fin du monde que de perdre." En quarts de finale, elle pourra tester sa nouvelle philosophie sur une proie de premier ordre, Justine Hénin, qui l'a battue difficilement à Brisbane au début du mois.
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